Je travaille dans le milieu informatique depuis pas mal d’années. J’ai eu l’occasion de voir grandir, évoluer un nombre incalculable d’outils, de normes, de technologies, de sociétés… dont une bonne partie n’existent plus désormais. Il s’agit vraiment d’un domaine en perpétuelle mutation dans lequel il a toujours été compliqué de se positionner sur le bon créneau tellement les changements sont fréquents et brutaux.
Personnellement, j’ai débuté comme développeur sur la plateforme As/400 (premier choc) avant de me spécialiser sur le framework .Net (deuxième choc). La phase de transition est plutôt contraignante mais on s’adapte, on se forme, on assimile les subtilités des nouveaux systèmes pour améliorer progressivement son aptitude. Cela requiert beaucoup de temps, d’énergie, de sang et de larmes (je n’exagère qu’à peine) mais on arrive au final à un niveau de compétence acceptable ou tout du moins satisfaisant. (suite…)

J’ai toujours été un fan des articles de John Papa sur Channel 9 mais le tutorial suivant est vraiment très bien fait.
[silverlight: ImageGallery.xap, 500, 500]
En tout cas, ça me donne la motivation pour me replonger dans les arcanes de Silverlight 4. J’ai été plutôt déçu avec la version 2 (puis 3) mais il me semble, quelques mois après son lancement, que cette mouture soit effectivement efficiente.

Je ne suis pas un spécialiste d’Excel mais le principe de l’add-in PowerPivot proposé par Microsoft m’a semblé intéressant. Il s’agit d’un module qui se greffe à Excel 2010 et qui permet dépasser les limites des classiques tableaux croisés dynamiques. Il est ainsi possible de regrouper des données provenant de différentes sources comme les fichiers plats, les bases relationnelles, les bases OLAP, les flux RSS, des données Excel… pour les retravailler ensuite dans l’éditeur (création de liaisons, colonnes calculées…).

L’outil est vraiment simple d’usage, on gère très facilement les différentes sources constituant le jeu de données. Ces dernières sont stockées en mémoire avec des performances optimales même sur des volumes importants de plusieurs millions d’enregistrements.

Une fois la partie « préparation des données » terminée, la phase suivante consiste à les formater sous forme de tableaux / graphiques directement dans Excel. Il est alors aisé à l’aide des assistants de construire des analyses agrémentées des sliders (segments) qui permettent de naviguer dans les données.

La dernière partie consiste en la publication des analyses sous SharePoint 2010 à destination des utilisateurs finaux.

(suite…)

J’ai modifié dernièrement l’organisation de mon site web en changeant l’arborescence des répertoires. La manipulation demande un minimum de précautions mais est particulièrement bien expliquée dans le tutorial vidéo suivant.
En bref, si le déplacements des dossiers WP ne pose pas de problèmes via un client FTP de base, les actions au niveau de la base de données sont plus lourdes :
– générer un script SQL des tables WordPress (export)
– suppression des tables
– modification du script SQL pour remplacer toutes les références à l’ancien chemin (ex : acrodev.net\blog001) vers la nouvelle référence ( ex : acrodev.net\blog)
– recréation des tables via l’import et le lancement du script ainsi modifié.

Rien d’insurmontable au final mais une dernière action est à effectuer pour permettre la prise en compte des images au moment de la publication des billets de Word vers votre blog.
Pour ceci, dans l’administration de votre blog, cliquer sur « Réglages », « Médias » et corriger l’adresse précisée dans la zone « Stocker les fichiers envoyés dans ce dossier ».

J’ai décidé de consacrer une partie de la journée pour migrer le développement en cours d’un client sous Visual Studio 2010. Ceci suite au dernier billet de Sami Jabber sur le blog de DNG Consulting. Ce n’est pas sans une certaine inquiétude que j’ai lancé le processus de conversion de ma solution mais cette opération s’est parfaitement déroulée.

Un nouveau moment d’appréhension s’est produit en téléchargeant le composant Crystal Reports for Visual Studio 2010 qui n’a pas montré au final de problèmes particuliers.

La première exécution du build s’est déroulée sans encombre mais j’ai déchanté lorsque j’ai continué à adapter mon code car une erreur de compilation est alors apparue. Il s’agit d’un bug remonté récemment par Microsoft (cf lien) qui est lié aux différences du générateur de ressources (RESGEN.EXE) entre VS2008 et VS2010 qui peu poser des problèmes pour les générations de builds destinées au .net 3.5 en 64 bits.

Bref, la solution appliquée pour ma part a été de forcer l’éxécution de ResGen.exe en 32 bits :

1. Cd « %ProgramFiles(x86)%\Microsoft SDKs\Windows\v7.0A\Bin »

2. Corflags /32Bit+ /Force ResGen.exe

Puis de modifier manuellement le fichier de configuration du projet (*.CSPROJ) pour rajouter l’entrée <ResGenToolArchitecture>Managed32Bit</ResGenToolArchitecture> dans les différentes balises PropertyGroup.

Depuis, cela fonctionne correctement et VS2010 est effectivement un IDE très confortable à l’usage.